Une icône
Aujourd’hui, je vais vous parler d’une grande dame, Gabrielle Chanel, dite « Coco Chanel » !
Mon admiration pour Coco Chanel date de mon plus jeune âge. En 1956, elle lance son célèbre tailleur en tweed aux quatre poches, fermé par de jolis boutons bijoux. Je trouve ces costumes d’un goût exquis, indémodables et qui donnent à la femme un look d’une grande élégance.
Je suis très admirative des personnes battantes, qui ont de l’ambition. Coco Chanel a su grimper l’échelle sociale par la réussite de son travail.
Cette grande couturière me fascine car elle a libéré la femme.
Née en 1883 à une époque où seuls les hommes avaient le pouvoir, Coco Chanel ose défier ses règles. Elle se fait remarquer par son franc-parler et sa volonté d’imposer son style. Les femmes de l’époque se souviendront surtout de son refus de porter le corset.
Elle est également la première à mettre le bronzage au goût du jour, refusant de se protéger du soleil. Elle commercialisera même, dès 1924, des crèmes à bronzer, alors que la mode est aux peaux blanches.
Le but de Coco Chanel était de créer des vêtements pour habiller les femmes et non pas pour les emprisonner.
Coco Chanel incarnait à merveille l’élégance parisienne. Elle représentait la parisienne libre, s’affichant toujours l’allure fière, une cigarette au bout des lèvres.
Une passion
J’aime porter des vêtements Chanel, ils sont pour moi indémodables.
Les modèles que Coco Chanel a créés sont des basics intemporels : le tailleur trois pièces en tweed, les ballerines bicolores, la marinière et l’incontournable petite robe noir.
Coco Chanel à tout créé de la mode contemporaine. Savez-vous que l’incontournable marinière était seulement réservée aux pêcheurs ? Coco l’avait repéré sur la plage de Deauville. Elle est aujourd’hui un must have de notre garde-robe, revisité par de nombreux créateurs tels que Jean-Paul Gautier.
Les vêtements Chanel allient la simplicité et l’élégance.
J’aime également porter les parfums Chanel et surtout le célèbre Chanel n°5.
En 1915, Mademoiselle Chanel se lance dans la parfumerie et demande à Ernest Beaux de lui créer un parfum qui lui corresponde, « un parfum de femme à odeur de femme ».
La légende raconte que Coco l’a baptisé n°5 car ce serait le cinquième échantillon proposé par Ernest Beaux qui lui plut.
Exposé au MoMa de New York depuis les années 60, immortalisé par Andy Warhol en 1968 et toujours n°1 des ventes mondiales de parfum, le célèbre flacon est une véritable icône.